BRÉSIL


...

La meilleure façón de connaître un pays, c'est encore et toujours d'y habiter soi-même. Comme en général les circonstances de la vie ne nous permettent pas de le faire d'une façon prolongée, il faudrait y aller personnellement, au moins une fois, pendre contact. Voir de près. Toucher. Rien ne peut suppléer la présence. Mais les voyages sont toujours un rêve, et des rêves aux faits il y a souvent l'impossible. Il faut alors se contenter des images. Il faut voir de loin, mais par ses propes yeux, ce qui est encore una façon bien plus parfaite que d'en entendre parler.

Alceu Amoroso Lima. Rio, Julliet 1950. 
BRESÍL. Paul Hartmann, Éditeur. 11,Rue Cujas, Paris.
( Fragment )

No hay comentarios:

Publicar un comentario